Joanne McElroy USA

 

Dimitri Milionis Grèce

 

voila comment ça termine de toute façon .

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pour être utilisé comme ça mdrr

mon lapin à le poil soyeux grâce aux copeaux de bois , VIVE les arbres!!!

Dernière modification par titi05 (08/10/2012 18:21:43)

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hum.... ou pas

 

Je demande la fermeture momentanée de cette discussion, merci

 

Jian Chong Min artiste chinois

 

Stefan Ambs Allemagne

 

L'arbre à sons est une sculpture sonore pour jardin public.
   
  Son chant va débuter au lever du jour par de délicates trilles modulées par les variations de la lumière naturelle. La musique évolue lentement au fil des heures pour culminer au midi solaire en une symphonie électronique. Le jour décroissant, les mélodies deviennent plus lentes et plus faibles, et s'éteignent totalement au crépuscule.
      Au cours des saisons, l' arbre à sons produit pour les promeneurs   des mélodies étranges et en perpétuel renouvellement. En passant sous   l'arbre à sons on peut entendre les différents sons que diffusent ses branches.
  Chaque branche diffuse un son distinct. Les structures musicales écrites par Jean-Robert Sédano sont conçues pour s' incorporer parfaitement aux bruits naturels environnants: oiseaux, vent, cris d'enfants...
L'arbre à sons est composé de 9 éléments semi-transparents en fibre   de verre et résine, teintés dans la masse, de section circulaire, formant   le tronc et les branches. l'extrémité de chaque branche contient un haut-parleur, spécialement étudié pour résister aux intempéries.
L'ensemble du matériel de génération et d'amplification sonore est réuni dans une petite régie souterraine située à proximité de l'arbre à son.

    La mise en marche, la génération sonore et l'extinction sont entièrement automatiques. L'arbre à sons est pourvu de multiples capteurs solaires et photoélectriques qui permettent à l'ordinateur situé dans la régie de reconnaître le jour ou la nuit, |l'état du ciel, le mouvement du soleil , le passage de nuages , les ombres portées d'   arbres ou de   constructions,     etc. . . .et en conséquence, différents programmes musicaux sont mis en œuvre . La puissance sonore des haut-parleurs est également contrôlée par la quantité de lumière
    La mise en marche, la génération sonore et l'extinction sont entièrement automatiques. L'arbre à sons est pourvu de multiples capteurs solaires et photoélectriques qui permettent à l'ordinateur situé dans la régie de reconnaître le jour ou la nuit, |l'état du ciel, le mouvement du soleil , le passage de nuages , les ombres portées d'   arbres ou de   constructions,     etc. . . . et en conséquence, différents programmes musicaux sont mis en œuvre . La puissance sonore des haut-parleurs est également contrôlée par la quantité de lumière naturelle, ainsi en cas d' éclipse solaire, l'arbre à sons deviendrait subitement silencieux !

 

Myoung Ho Lee, un artiste coréen, a produit une série de photographies qui posent des questions inhabituelles sur la réalité, l’art, l’environnement et notre façon de voir.

Simple dans son concept, complexe dans son exécution, il nous fait regarder un arbre dans son milieu naturel, mais sépare artificiellement l’arbre de la nature en le présentant sur un immense fond blanc, comme pour une peinture ou une photo sur un panneau d’affichage.







Différents paysages, saisons, arbres, ambiances se succèdent autour d’un même concept : l’artiste fait élever une toile derrière un arbre, recréant de cette manière un nouvel encadrement. L’arbre paraît plus visible et il est recontextualisé : le photographe attire notre attention sur lui. Il fait toujours partie du paysage, mais plus tout à fait de la même manière. Nouvelle vision, étrange et poétique, sensiblement dérangeante.

Quel est dès lors le lien qui unit l’arbre et son environnement ? En fait-il d’ailleurs encore vraiment partie ? Une séparation artificielle qui l’a ainsi isolé, au premier regard, la scène nous fait penser à un tableau. La main de l’homme, dans la nature… Idée qui nous emmène aussi du côté des réflexions liées à l’écologie et au rapport de l’homme avec son environnement. Une œuvre qui invite à la réflexion, mais également au rêve, à la contemplation. Et finalement, chacun y voit un peu ce qu’il veut… À partir de ce concept simple, pas si aisé à mettre en œuvre, Myoung Ho Lee détache l’arbre sur un fond de toile blanche et l’imagine tel un tableau.

 

Le royaume formidable par London fieldworks est fondé sur la recherche de dessins d’hibernation d’animaux dans la forêt anglaise.
Les artistes présentent une série de maisons de spectacle spécifiques dans les bois.
L’exposition a ouvert en septembre dans le Kent, et laisse une drôle d’impression… une HLM pour oiseaux ?